
Voici ma théorie : plutôt que d’écumer toutes les bonnes adresses du guide, choisir avec soin un resto et s’en faire une cantine. Dès le deuxième soir vous êtes reconnu, accueilli avec plaisir et, récompensé de votre fidélité, fort bien servi avec causette en prime ; ce n’est pas négligeable lorsqu’on voyage seul.
Aucun angélisme de ma part : les Açoriens sont vraiment des gens charmants, serviables, apaisants. Personne ne refuse une photographie par exemple et la conversation est toujours appréciée. Avec leur anglais moyen plus et mon anglais moyen moins, nous nous débrouillons très bien.
L’île de Faial où me voici revenu est une Auvergne sur mer. Magnifique. Le beau temps revenu, je ne me suis pas privé de plusieurs balades à cheval sur les volcans. Contrairement au Pico, ils n’étaient pas (trop) dans la brume aujourd’hui. C’est bon parfois d’y voir clair !
