En juillet dernier, j’ai à ce point aimé les Philippines que ce voyage n’était peut-être rien d’autre qu’un rêve. Ce genre de rêve que nous connaissons tous, un peu embrouillé sans doute, étrange, mais si doux, si délicieux, qu’il superpose dans sa jouissance même l’illusion du bonheur enfin trouvé et l’inquiétude du réveil affleuré. Je ne sais si ce petit film de sept minutes parvient à traduire cette expérience. Du moins, aurai-je essayé.
Fondu final… L’art du montage… Adieu Philippines.
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Bonjour Philippines et Bravo Alain. L’absence de commentaire permet d’apprécier librement la couleur locale, chacun avec sa propre subjectivité. Belle maîtrise dans la stabilité de l’image, le jeu avec les lumières, le choix des cadrages et les mouvements de caméra même si à part notre « petite mort » du fondu final, la transition entre les séquences m’apparaît parfois un peu abrupte. Mais c’était sans doute un choix artistique. Bon vent Philippines, dépaysante fiancée du réalisateur.
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Merci Vincent, je dirais même plus l’absence de transition ! Evidemment un choix artistique !
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