RIEN À FAIRE

Encore un autre jour, j’étais seul à Buenos Aires et j’avais l’impression d’une ville cafardeuse envahie de pluie et de nuit. Comment avais-je pu quitter l’été pour l’hiver ? Je voyais bien que la capitale argentine était riche de possibles, digne de passions et porteuse d’une vie profuse. Mais il n’y avait rien à faire, c’est la nuit et la pluie qui prenaient tout, emportaient le morceau, dictaient leur loi au voyageur.

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